Rosalie LOWIE
Originaire de la région parisienne, diplômée en gestion et management, je me suis installée sur la côte d'Opale il y a plus de 25 ans, où j’ai exercé le métier de responsable Ressources Humaines en industrie. J’ai fermé le chapitre de cette première vie professionnelle en 2022 pour me consacrer à l’écriture dans différents univers (polar, roman, jeunesse, nouvelle, théâtre). J’interviens en écoles, je réalise des biographies privées, j’anime des ateliers d’écriture et j’organise un salon littéraire à Wimereux l’été.
Le Grand Prix Femme Actuelle 2017 a récompensé mon premier polar « Un bien bel endroit pour mourir », qui signe le début de mon duo d’enquêteurs fétiches sur la Côte d’Opale.
Mon deuxième polar « Dernier été sur la côte » a obtenu le Prix du Polar Nordiste en 2023. Mon dernier polar “La malédiction de Reggio” est le 3e de la série. Mon récent Polar en Nord Junior « Panique au Channel » a obtenu le Prix Jeunesse 2024 du salon du Touquet.
Mon parcours de lectrice
Du plus loin que je m’en souvienne, j’ai des livres dans les mains, je lisais dans mon lit, enfant, parfois tard dans la nuit, sous les draps, éclairée d’une petite lampe. Au démarrage, il y a Enid Blyton et le Club des 5. Puis, le goût de la lecture m’a emportée dans des genres très variés : Alexandre Dumas, les sœurs Brontë, Agatha Christie, Philippe Djian, Boris Vian, John Steinbeck, Harlan Coben, David Foenkinos, Arnaldur Indridason, …
Solitaire et sauvage, la lecture est très vite devenue une évidence et une nécessité.
Lire permet de s’évader, de découvrir, d’apprendre, de s’ouvrir sur le monde, de vivre mille vies sans bouger de chez soi. C’est magique tout autant que les mots deviennent des phrases, les phrases se métamorphosent en histoires. Avec leurs lots d’émotions qui crépitent et retentissent en nous, du rire aux larmes, de la peur au bouleversement.
J’ai aussi un rapport affectif fort à l’objet livre. Le regarder, le tenir, le sentir, le feuilleter. Les livres sont précieux, encore plus dans les périodes chahutées qui agitent le monde.
Ce qui me pousse à écrire
L’envie d’écrire mes histoires, de mettre des mots sur l’imagination qui bouillonne dans mon crâne, de partager avec les lecteurs.
Gamine, je voulais être écrivaine, mais le syndrome de l’imposteur, mon manque de confiance et l’éducation austère et élitiste à la littérature en école à l’époque ont très vite freiné mes ardeurs. Alors, j’ai lu beaucoup, puis la naissance de ma fille m’a rappelé cet essentiel qu’est l’écriture dans ma vie. J’ai osé, travaillé laborieusement, jusqu’au Prix Femme Actuelle 2017 et mon premier polar qui a ouvert les rails d’une nouvelle vie, la vraie !
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